mardi 27 janvier 2009

Lizard


La couleur que l'on donne aux autres vaut parfois mieux
(ou moins) que ce que l'on donne à soi-même devant un miroir,
en se levant le matin.
Une fois l'impression dépassée, ce qui reste de nous est:
nos actes posés. Je reste fasciné par ce que les autres
perçoivent, versus ce que je suis profondément.
C'est là quant à moi tout le défi de la communication.
L'image projetée versus l'être profond,
la différence d'interprétation entre ce que l'on
est vraiment et ce que les autres pensent ou
interprètent.
La vie est un bordel maritime sur lequel
j'essaie de naviguer tant bien que mal.
;-)

4 commentaires:

Simon Dor a dit...

Pourquoi, dont, ça brisait ta mise en page si tu ne faisais pas des "enter"?

À moins bien sûr que tu veuilles le laisser comme ça, comme excuse pour versifier tes interventions :)

helenablue a dit...

C'est vrai que ses nos aces qui comptent , je suis d'accord avec toi ...parfois , il y a quand même un décalage entre ce que l'on pense être , ce que l'on est et ce que l'autre pense de nous ... Non ?

J'aime bien cette notion maritime pour parler de la vie;

" il n'est pas nécéssaire de vivre , il est nécéssaire de naviguer " ...

Kiss , Cher Terrible ,
Blue

helenablue a dit...

" nos actes " pardon pour la faute de frappe !

Yvan a dit...

Les décalages de perception
et l'interprétation.
Me souviens d'un cours de
psycho où nous avions
expérimenté comment une
histoire de quelques phrases
très simples,chuchotée à
l'oreille à tour de rôle
pouvait aboutir à quelque
chose de bien différent
quand la 10e personne raconte
à voix haute ce qu'elle a
entendu de celle qui la précède,
afin d'illustrer ces différences.

C'était souvent délirant,
toujours divertissant :)