vendredi 25 octobre 2013

Fines Foufounes du l'amour.

C'est là qu'on a atterri ensuite.

Vieille/jeune institution
du bonheur à revisiter.
Elles ont pas changé les grognasses.
La bière à $2.75.
Yo.

Avec des plafonds de 3 mètres et plus,
ça respire bien la liberté à peu de frais.




Coup de coeur intérieur: une murale de 3 mètres de longueur:


                                            De: Emmanuel Laflamme (2013)
                                         Titre: "Ajouter l'insulte à l'injure"
En arrière-fond de la toile; des études, des exercices de style
sur les mouvements du corps, ressemblant à des hiéroglyphes.
En-dessous ce soir-là il y avait une table de billard
avec du monde cool autour.




Les Foufounes Électriques;
c'est la même âme, avec des corps différents.

Un moment donné, fallait que j'aille pisser voyez-vous,
faque je descends dans des escaliers psychédéliques
du câlisse pis me voilà dans une dimension
dans laquelle je me suis retrouvé, mine de rien.
Esti... J'étais ni saoul ni stone.
Absolument straight. Comme un Jean Dagenais
quelconque, originaire de Ste-Perpétue mais ailleurs,
certainement.


Le Vortex d'une paire de fesses électriques.


Elles dansent, elles jouent, elles rient.
Les chiottes des Foufounes!

Ah quel bonheur quel bonheur.
Je reviendrai ici c'est sûr,
ah c'est sûr.

Poser mes fesses
sur une de ses chaises.
Mettre mes mains
sur une de ses tables.






                                                

jeudi 24 octobre 2013

Zombies Suite

Il y avait des milliers de personnes pour cette 3e édition.
Beaucoup plus de photographes en herbe que de zombies en sang d'ailleurs,
contrairement à la première marche, métro Mont-Royal,
un certain jour d'octobre 2011. Un joyeux bordel ce fut.

Faire de la photo lors d'événements spéciaux n'est pas facile.
Ça bouge sans arrêt, faut faire un focus rapide et ne pas traîner.
Sans trépied, tu n'as que tes deux jambes et ton oeil-objectif
pour suivre la parade.

Le succès de cette marche se tenant en plusieurs cités

sur la planète et en différents temps de l'année m'interpelle
moins que la figure du zombie et sa symbolique possible
en notre époque.

Photocino, stp.
Fais ton office.










                                              Ces deux photos sont de : niNa louVe


Je suis un, bébé zombie.
Ma mère m'aimait mal
et mon père était absent
6 mois par année.

J'aurais préféré qu'elle m'aime bien
et que mon père soit présent
6 mois durant l'année.

LA photo de cette marche, à mon avis.
Filiation.
Amour inconditionnel
et troublant.

Merci, belle amie.



lundi 21 octobre 2013

Zombie Walk Montréal, 19 octobre 2013

En route vers Oka, samedi le 19 octobre dernier au matin,
chercher une amie.
Je tombe sur ça en chemin...
                           Ça annonçait bien la journée haute en couleurs qui suivit
                           notre route, jusqu'à l'esplanade de la Place des Arts où
                           avait lieu la 3e marche annuelle des zombies montréalais...


J'aime le visage et la rhétorique du zombie.
La laideur est un art, un miroir et une prise de position
socio-politique dans un monde
carburant à la "beauté" préfabriquée.


















                     Yen a qui peuvent pas s'empêcher d'être mignonnes malgré tout.
                                                      C'est plus fort qu'elles.
                                    La laideur est une valeur qui leur est étrangère.

                                                              Impertinente.


Quelques clichés de conversation en terminant.

- "Tu n'es pas assez laide, t'es trop belle."

- "J'croyais que tu te serais fait une laideur, pas une beauté."

- "Les flics sont discrets aujourd'hui."

- "Les zombies sont moins dangereux que les étudiants."

-"Ils courent moins vite en effet."
 




samedi 12 octobre 2013

Musique







Isnt'it?

À la question:
êtes-vous plus Rolling Stones ou Beatles?
Je réponds: Rolling Stones.

dimanche 6 octobre 2013

Copier/coller, envers un ami qui aime le cinoche.

Visuellement et techniquement irréprochable;
un rendu 3D immersif et prenant à souhait.
On est 600 km au-dessus de la terre et c'est en soi un jalon cinéma posé
que de se sentir aussi présent comme spectateur,
dans un produit hollywoodien qui aurait pris 5 ans de travail
et des dizaines de millions de beaux dollars à réaliser.
Énormément d'efforts ont été mis sur l'emballage
et ça se voit. Très impressionnant.
Vous me voyez venir...

Je m'attendais à beaucoup mieux du réalisateur
de "Children of Men" et "Y tu mama tambien".
Si les frères Cuaron ont mis 5 ans sur le scénario,
je les invite à trouver des scénaristes plus aguerris aux dialogues,
tant ces derniers ne lèvent guère plus haut qu'une marguerite.

George Clooney, pas fort. Cabotin sur le pilote automatique.
Le "Buzz Lightyear" de service(pas de moi cette expression mais franchement
drôle et appropriée)
Sandra Bullock est bien meilleure, c'est dire. Minimaliste et efficace,
on dirait qu'elle se bonifie un peu avec l'âge; tant mieux et une chance
pour nous, sinon j'aurais décroché bien avant.
Et la musique de Stephen Price?
Pas mal jusqu'à la moitié; insupportable de gros trait, ensuite.

Une grande question: 
Est-ce que ça vaut le déplacement et ses 15 piastres
AVX 3D?
Oui mais pas une cenne de plus, à mon humble avis.
 

On est chez Warner Bros!