mardi 24 février 2009

Éloge de la lenteur.








Les tortues géantes des Îles Galapagos font en moyenne
un poids d'environ 210kg et mesurent grosso modo
1,2 mètres de long.


Les bougresses peuvent emmagasiner assez de graisse
pour rester un an sans boire ni manger.
J'aimerais bien me taper un repas gargantuesque
qui m'épargnerait la table quotidienne pendant 365 jours.
Si on transposait l'amas de graisse nécessaire à l'être
humain pour ce faire et qui ne peut demeurer plus
de 3 ou 4 jours sans boire, je serais pas surpris de
l'insuccès total, mais ça c'est une autre histoire.

(...)

Plus résistantes qu'un cactus, elles divertissent aussi
la galerie par leur bouille impayable et leur mobilité
réduite au minimum qui provoque sarcasmes,
fascination et rires à longueur d'année.


Leur espérance de vie oscille entre 150 et 200 ans,
tant qu'on leur donne les bonnes brindilles à manger.

Avec une telle longévité, je ne suis pas surpris
de leur lenteur.

vendredi 20 février 2009

La Joute et Jean Barbe

Ça s'est passé comme je le pressentais.
Sheila Copps surclassée, et désavantagée en français sauf
qu'elle digressait souvent avec des considérations hors sujet.

Ivy pas mauvais du tout, il a eu un de mes quatre votes.
Le mec a le coeur et la tête à la bonne place à sa façon.
J.Barbe a eu les trois autres.
Trop fort avec un aplomb redoutable, c'est tout un orateur.
Un vrai débatteur "who knows the game".
Il partait avec une longueur d'avance étant écrivain
et habile manieur de la langue française.
Il fut concis et brillant sur trois des quatres débats.

Dangereusement efficace, avec arguments bien assénés
sur tous les sujets, sauf sur celui de "Montréal ville bilingue"
où j'estime qu'il a trébuché avec ses considérations
outremontaises.Ça aurait pu lui jouer de vilains tours,
mais son intelligence et sa vivacité d'esprit omniprésentes
lui ont assuré la victoire par la suite.
Faut être ferré pour l'affronter car il peut faire
la barbe à bien du monde.(pas pu résisté au jeu de mots)
Il a très bien compris les règles de la joute.

Prévision: Il ira en finale avec Suzanne Côté l'avocate,
si elle est toujours dans la course?

Nous verrons d'abord la demi-finale à laquelle il participera.

C'est vrai que ça manque au Québec, les débats intelligents.
Ce jeu télévisé nous le fait cruellement sentir.

Vive la Joute.

mardi 17 février 2009

Pourquoi j'aime tant les poursuites en char.

Parce qu'elles font contraste pardi!
Voir des gens qui font corps avec une machine
en dehors des normes m'a toujours fasciné.

La poursuite filmée dans "Bullit" reste
la meilleure, car porteuse de symbolisme
significatif, en plus du réalisme routier.

Deux voitures légendaires, un acteur mythique
qui faisait ses propres cascades, la manière dont elle fut
filmée, et la poésie qui s'en dégage dans une ville comme
San Francisco.
Plusieures raisons conjuguées en une seule séquence.

-La Poésie qui l'emporte sur tout.

Ouais, moi j'y vois de la poésie de métal froissé
et de caoutchouc brûlé qui odore bon
la transgression des normes balisées
et hyper-surveillées aujourd'hui avec force caméras
dissimulées et véhicules fantômes.
Cela n'est plus possible en 2009.
Toutes les poursuites (sauf exceptions) sont filmées
à 70-100 km/hre.Des poursuites de pépés
sur le Prozac endormis, qui trahissent notre époque
aseptisée et contrôlée de toutes parts.

La poursuite de "Bullit" est sauvage et sans issue
à au-delà de 120km/hre;
deux guêpes de métal-hurlant se poursuivant à folle allure.
Une illustration anthologique de cowboys en bagnole,
version Amérique.

In fucking San Francisco.

Poésie cinéma-trash, avant la lettre.

vendredi 13 février 2009

Vendredi 13

Ce matin j'étais de bonne heure heureusement, la bagnole
me réservait des surprises une fois arrivé à sa hauteur.
Pendant au moins cinq bonnes minutes la carcasse
n'a pas voulu s'ouvrir par les portières,
gelées dures à la serrure.
Mouillées d'émotion pré-printanières par la pluie
abondante de la veille, frigorifiées la nuit suivante par
l'hiver tenace.

J'ai pu ouvrir le coffre et me munir de mon insecticide
à glace.
Des vers paralysants s'étaient installés dans la
serrure des deux portières en lieu et place.
Je les aspergeai généreusement de ma bombe et attendis,
tout en gossant de temps en temps l'orifice de la serrure
avec ma clé afin d'ouvrir une des deux hosties de portes.
Celle du passager s'ouvrit la première.
Yé, je vais pouvoir obtempérer aux impératifs du boulot!

Déjà fru à 0700 am, je démarrai en trombe vers le
vaisseau-mère,légèrement stressé à l'idée d'être en retard
un vendredi, journée souvent chargée.
Inutile, car tout le monde était stressé à mon arrivée tardive:
le volume était encore en distribution dans les camions
avec pour résultat que tout le monde partirait plus tard
que prévu.
Ça arrive souvent, pour toutes sortes de raisons.

Le courrier et sa distribution est une histoire de fou quotidienne.
C'est la gestion du "trop" ou du "pas assez".
Le stress est toujours présent, sa gestion vous teste à tous
les jours quand vous êtes gérant.
S'il y en a trop, faut des chauffeurs-tampons;
s'il y en a pas assez faut couper et redistribuer
aux chauffeurs existants.
C'est la gestion d'urgences à tous les jours, cinq sur sept.

Je suis pas gérant Dieu merci, parce qu'il faudrait me payer
un salaire indécent selon leurs normes. (On me paiera
jamais assez cher pour le stress qu'ils endurent, haha.)

Étant en dehors des leurs, je reste chauffeur.
Mieux vaut être un lieutenant efficace et sous-payé qu'un
général incompétent et graissé.Les premiers vous révèlent
souvent des valeurs immuables alors que les seconds
transmettent souvent des tares séculaires.

Les "burn out" sont fréquents chez les cadres.
Les blessures au dos et aux articulations sont
monnaie courante chez les chauffeurs.

Le "marché" du travail reste un terreau fertile en émotions
et histoires de toutes sortes, malgré sa place trop grande
dans la vie de la plupart des gens.
Toute cette notion séculaire du "travail" à travers le temps
et les époques mériterait d'autres essais sous diverses formes
d'art encore à explorer,entre autres sujets.

Évidemment toutes les variantes sont possibles
entre les deux,(le lieutenant présent et l'officier bureaucratisé)
je suis pas détenteur de LA vérité
et n'ai jamais prétendu l'être.De toute façon la
vérité n'est pas unique, mais multiple à mon avis.
Je revendique le droit de dire une certaine quantité
de niaiseries hebdomadaire ou mensuelle.
J'ai mon quota à respecter.
Le respect des quotas, je n'oublie pas.

Je prétends être libre de pensée.
Chacun sa mission et ses désirs profonds.
Et par-dessus tout : Have fun.

Keep on dancin' .
All night long.
On the dance floor.

Do you want some more?

bullit famous car chase, The best ever ,malgré les fils blancs.




Encore une référence à ce jour pour la vitesse atteinte par les véhicules dans San Francisco et le montage habile, malgré la musique poche du début et le fait que la Mustang rattrape toujours la Charger malgré un retard indéniable, voire insurmontable.

lundi 9 février 2009

Il faut parfois répéter...

"J'étais si vert de rage
Les barreaux de la cage
Caoutchouteux dans la mâchoire
S'écartaient juste assez
Pour me laisser toucher
La rançon de la gloire.
Des griffes
J'éraflais la dorure
Des médailles en chocolat
Qui n'en étaient pas.
La pulpe des pattes à vif
J'ai mis le feu à ma fourrure
Et j'ai marqué mon territoire
En pissant du sang noir"


Christian Mistral
Extrait de "Carton-pâte".

dimanche 8 février 2009

La Joute-Vue de l'intérieur


La "Houte", diraient certains résidants de Joliette.
Plusieurs d'entre eux prononcent le J et le G
(quand il se prononce comme un J) comme un H,
ça me fait toujours rigoler.
Bon.
J'eus préféré vous livrer mes impressions après avoir vu
l'émission en reprise ce soir 19hres à Télé-Québec; je me réserve
de l'espace pour ce faire. En attendant il y a chez Venise et
Sandra des opinions intéressantes qui éclairent l'angle
extérieur de la chose.D'autres reprises sont prévues Lundi
le 9 à 22pm et mardi le 10 à 14pm.
-La Joute.
Le format est très contraignant,trop peut-être mais je
le préfère à des débats interminables; même si lors de cette
joute j'eus aimé entendre les trois orateurs davantage.
J'ai trouvé l'expérience du "direct" assez fascinante malgré
ce concept de jeu qui favorise un peu trop l'art de la concision
et du "Punch" au détriment du développement des idées et
de l'argumentation. Bref le genre de concours oratoire
qui a les défauts de ses qualités: fascinant sur la gestion
du temps alloué, la synthèse rapide des idées et la
communication concise versus la simplification à outrance,
le stress cruellement imposé par le temps et de l'effet
visuel de l'argument trop appuyé soit par le charisme ou les
gestes inutiles.
La télévision, typique de la société du spectacle qui s'immisce
jusque dans un concept intéressant comme La Joute.
-Stephan Bureau
Égal à lui-même c'est à dire toujours professionnel, efficace,
intelligent, sensible avec un humour légèrement pince-sans-rire
jamais redondant ou condescendant.Il apporte beaucoup de
crédibilité à tout ce qu'il touche. Un grand journaliste.
Je m'en veux d'avoir manqué cette entrevue d'une heure
qu'il a accordée à Patrick Lagacé aux Francs-Tireurs récemment.
Télé-Québec reste ma station de télé généraliste préférée
par la pertinence et l'intelligence de sa programmation globale.
-Les participants et ma perception de leur performance.
-Mireille Deyglun (3e avec 23% du vote)
Elle a dégagé beaucoup de sympathie,de l'aplomb et
une candeur qui avait un charme certain.
Probablement celle qui avait le moins d'expérience dans ce genre de
mini-débat. Elle a débordé du sujet à quelques reprises et ça lui a nui.
(Une personne sympathique marque toujours des points,
surtout au Québec à mon avis. Les québécois ont en général horreur
des gens suffisants le "nez en l'air"). Je l'ai trouvé courageuse en plus
d'avoir bien fait pendant l'émission, mais c'était insuffisant pour l'emporter
face à ses deux adversaires.
-Christian Mistral (2e avec 33% du vote)
Héhéhé...
Le plus finement coloré des trois avec des arguments plus forts que ceux
de Michel Labrecque, seulement le temps lui a manqué et son rythme parfois
hésitant lui ont fait perdre la première place. Je pourrai nuancer dans
les commentaires quand je verrai l'émission. Il n'y avait qu'un seul moniteur
que je ne pouvais regarder d'où j'étais, soit derrière lui première chaise
à droite de la deuxième rangée ;) (M'as pt'être vouère ma p'tite face à souère!).
Cela étant dit, il aurait gagné avec plus de temps je crois.
"La Joute" ou " Le manque de temps qui peut tuer".
Faut vraiment avoir un chrono en tête à cette émission.
À l'écouter j'en redemandais tant ses échafaudages étaient prometteurs,
il a néanmoins eu le temps d'en pousser de puissantes.
Juste pour la sophistication et la force(souvent coupée par le temps)
de ses interventions j'aurais voté pour lui contre Labrecque
et c'est probablement ce qui lui a le plus nui, à tort possiblement.
On veut du simple,du punch pis du visuel. On est à tévééé!
Ses effets de langage colorés étaient une arme à double tranchant
à mon avis, en soi c'est une qualité mais dans
ce format oratoire hmmm, pas certain. Mais c'est surtout ses hésitations
qui lui ont fait perdre de précieuses secondes selon moi et sa nervosité.
C'est drôle, il venait me voir brièvement pendant les pauses publicitaires,
on avait que quelques secondes pour échanger puis, lors de la pause
après le 2e sujet je lui ai dit:
"L'homme à battre c'est Labrecque"...
-Tu crois?!
-Oui j'pense.
Je n'en étais pas certain mais j'en avais l'impression.
Il est aussi allé voir ses deux opposants pendant les pauses.
Marrant j'vous dis.
Un vrai gentleman indeed à la télé.
Puis zoup-laa! On revient en ondes...
3,2,1....Clapclapclapclap!
Le cirque avec l'animateur de foule, ouaahh...
Comme du bétail à caméra, j'exagère à peine.
The name of the game is Circus pour les gens se prêtant
au jeu de l'assistance dans les émissions de télé.
On avait cependant la liberté d'approuver ou non
les interventions pendant le déroulement.
-Michel Labrecque.(1er avec 44% du vote)
Le plus habile et le plus à l'aise avec le médium,
même si je m'explique mal l'importance de l'écart
entre lui et Mistral.
Sans doute son effet du lancement de rapports sur le plancher.
Si le geste paraissait naturel, j'en dénonce la stratégie
bassement télévisuelle de "l'effet tévé percutant".
Je dénonce aussi le motif de sa grippe comme un "appât à sympathie".
"Ayons l'air faible pour surprendre davantage et se rendre ainsi plus fort
aux yeux des spectateurs en bout de ligne".
Il a fait son numéro de théâtre et ça lui a rapporté.
C'est aussi celui qui a maîtrisé le mieux l'aspect "temps" il me semble.
Il est arrivé à dire ce qu'il voulait sur la majorité des sujets et il a aussi
marqué plusieurs points à la toute fin sur l'ingérence des dirigeants
politiques français dans la politique québécoise.
C'est là qu'il a été le plus fort et c'est aussi là que le sort s'est jeté.
Encore une fois sous toute réserve de mon visionnement futur.
La fin est d'une importance capitale.
Le dernier sprint fut signé Labrecque même si
j'ai eu l'impression tenace d'avoir affaire à un
sénateur romain dans la cour de César version
Astérix à la télé.
-Mot de la fin (Chu en train d'écrire un roman!)
Ce fut une belle expérience.Cette joute était plus
un échange complémentaire d'idées qu'une véritable
confrontation et c'est bien correct comme ça.
Les trois participants furent "leaders" chacun leur tour
et c'était la première fois que cela se produisait à l'émission.
J'eus aimé la victoire de Mistral, il a fort bien fait.
On gagne à l'écouter parler, il a tellement de choses
à dire qu'il faudrait pouvoir l'enregistrer chaque fois.
Exercice périlleux et à l'honneur de tous les participants
passés et futur.
Pas évident d'être aussi contraint par le temps devant
un tas de caméras et de spectateurs.
Il fut le plus profond et le plus subtil. Drôle aussi.
Il est d'une drôlerie irrésistible d'intelligence en personne.
Tout un personnage Mistral.
Plus grand que nature, virtuellement et en personne.
Fin,généreux,volubile,chaleureux,sympathique,brillant il fut
en personne envers moi. Je l'aurais cru plus distant.
Au contraire, ce fut une surprise absolument remarquable.
Je me suis déplacé pour lui offrir mon soutien un vendredi soir
après ma semaine de travail. J'y serais jamais allé, n'eût été de
sa présence. Il m'a très chaleureusement accueilli et ce fut
une rencontre d'amitié franche et partagée.
Me disais aussi que ce serait original pour une première rencontre.
J'aime les trucs originaux entre amis mais j'en fais pas une priorité.
L'amitié se déguste surtout dans les moments ordinaires, assis
sur une simple chaise.
Facio a facio.

jeudi 5 février 2009

Avalon - Bryan Ferry / Roxy Music


Now the party's over
I'm so tired
Then I see you comin'
Out of nowhere

Much communication in a motion
Without conversation or a notion
Avalon

When the samba takes you
Out of nowhere
And the background's fading
Out of focus
Yes the picture changing
Every moment
And your destination
You don't know it
Avalon

When you bossanova
There's no holding
Would you have me dancin'
Out of nowhere
Avalon

Divers sujets de révolte

C'est pas les occasions d'empathie et d'exaspération qui manquent
ces temps-ci; j'vais commencer près de moi
pour m'éloigner graduellement.
À défaut d'approfondir chacun des sujets abordés
faute de temps, j'essaierai de les effleurer intelligemment.

D'abord, ya l'écrivain et ami Christian Mistral,
harcelé par la spéculation immobilière sauvage de son proprio
qui aimerait bien mettre les anciens locataires dehors
pour re-louer à prix prohibitif.
3 ans que ce manège dure.
J'aimerais mieux avoir des blattes,
elles au moins on peut les éliminer.
Vivre de sa plume est déjà un défi énorme au Québékistan,
si en plus on emmerde les écrivains marquants
dans leur propre demeure...
"Hold on".

Ensuite, j'ai d'autres amis qui souffrent de problèmes
hors de leur contrôle.
Les pires problèmes sont justement ceux-là:
les "ceuzes" ingérables qu'on doit porter sur nos épaules,
en espérant que les choses s'améliorent.Ces êtres chers débordent
de talent et sont autant de lumières m'éclairant l'âme;
ma frustration est grande de n'avoir que des mots
pour les réconforter, conjuguée à la colère ressentie
par la lecture de crétins indignes s'illustrant
sur toutes les tribunes ou dans l'ombre du pouvoir.

Combien de voix importantes sont tues,
versus les clairons de l'insignifiance magnifiés?
(Je vais y revenir dans pas long.)

Finalement,le congédiement sauvage de Michel Vézina
par Sylvain Prévate (encore lui)
respectivement chef-pupitre section Arts et Livre,
et Éditeur-adjoint au ICI.
Collaborateur de longue date (six ans), Michel s'est fait jeté dehors
comme un paria en plus d'être censuré lors de la publication
de son dernier billet.
Prévate je l'ai déjà cloué au mois de décembre dernier.
(j'arrive pas à insérer le lien désolé).

Hé Sylvain, tu vas crisser qui dehors next, hypocrite de mes deux?
T'es pire qu'un cancer, lui au moins il s'annonce.
Un médecin débordé a plus de tact que toi.
Dans le fond t'es qu'un vil exécutant,
sens-tu les ficelles au-dessus de ton petit corps de marionnette?

La purge de la substance du Icitte s'achève après Vézina,
Lévesque,Côté, Faradji... Reste plus que Maxime,
Rachel et Natalia...
Bonne criss de chance les amis.

Falardeau, kesse-tu fais là?!
J'ai autant besoin que toi de bouffer,
sauf que je bosse pas pour PKP, héhé.
Vendu pas cher la livre dans une
épicerie près de chevou.
Dégage mec, s'il te reste une colonne vertébrale.

Je termine avec "Martine la Tartine":
Richard Martineau, la grande gueule démago.

À "Tout le monde en parle", il a dit à propos du
conflit au Journal de Mtl pour se défendre d'être
toujours signataire de sa crôônique:

"Je suis ni patronal, ni syndical, je suis Richard Martineau".

...Et le sans dessein du mois, assis sur la clôture
du Hournal. N'importe quoi.

McDonald a ses employés de la semaine,
Québécor a ses employés du mois.
Your check is in the mail, Rickie Dickie.

Pis Patrick Huard qui comprend pas ce qui se passe
dans ce conflit, ouaah.
Si t'as besoin d'une lampe-torche, on peut t'torcher.
Quelle mauvaise foi d'un être intelligent pour se garder
des portes ouvertes...Pfff.
Le Huard est en baisse.

Que c'est lourd le Québec par bouts.
Peuple n'arrivant pas à s'affranchir et marcher seul.
Debout.
Souvent courbé et "victime". Pas très équipé en
libres penseurs rigoureux, ni en véritables "leaders" politique.

Ouais je joue au juge, soit.
Tout le monde juge à tour de bras tout le temps,
et personne veut être jugé.

Un jour je ferai mon propre procès, si si.
Je le jure.


J'ai tu oublié kékun dans ma razzia?