Aujourd'hui, à au moins une ou deux occasions au travail,
j'ai observé mes roues de camion patiner sur la glace.
Cet état de fait permit momentanément à mon imagination de m'offrir
d'autres pistes de réflexion, telles:
En des lieux non-propices, mon corps reste stationnaire
au détriment de l'esprit qui voudrait le faire avancer.
7 commentaires:
Ainsi on mesure sa limite !!
pas toujours facile à accepter ...
Non,mais je trouve parfois stimulant de la combattre.
Avec ou sans succès.
Oui, c'est vrai !
Je suis assez d'accord , on peut même avoir des surprises finalement !
Et repousser ainsi un peu la limite ...
Mets des pneus à clous et un 4X4 à ton corps, tu vas tirer ton esprit et même celui des autres.
-Le gars de bois
Le gars de bois a un bon
potentiel pour les chroniques
du vent.
Fine observation que la tienne, Yvan.
Ça me fait penser à Lévi-Strauss qui disait que rendu à son âge vénérable, il ne peut aller aussi vite que son esprit et qu'il regrette de ne plus pouvoir aller au bout de ses idées. Il a 100 ans, ce grand savant!
L'un comme l'autre, pour des raisons différentes, vous dites la même chose.
Ça ne donne pas le vertige de planer à ces hauteurs, Yvant? ;)
Bonne question Inuk.
Le vertige,ça dépend des jours et de la hauteur du saut.
Faut un bon parachute.
Il est comme l'esprit,il ne sert à rien s'il n'est pas ouvert.
Mais probablement que mes os cesseront de me faire mal
avant de ne pouvoir aller
au bout de mes idées.
Je l'espère me connaissant,en dehors du respect que je porte
aux centenaires sages;tout dépend du véhicule de chacun je crois.
100 ans!
Un grain de sable dans l'histoire de l'univers,une éternité pour l'être humain.
:)
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