Dommage que sa voix ne fut pas plus entendu notamment sur le revenu du citoyen.... Il ne prêchait pas l'inactivité mais disait que le travail était nécessaire moins pour l'enrichissement de l'individu que pour son épanouissement personnel et pour ce que cela rapporterait à la société. Si chaque citoyen avait un revenu garanti il ne verrait pas le travail de la même façon. Faudra bien que je développe cette idée à un moment donné en utilisant ma propre expérience de pré-retraité après 30 ans pour la même compagnie.
Oui, un revenu garanti pour chacun, et le travail non plus comme "mise en laisse" des uns par les autres, mais comme expression de l'habileté, du désir de "faire"...Gaétan a raison là-dessus ! Michel Chartrand, je n'en ai eu connaissance que par vos blogs le jour de son décès, alors je suis allée lire sur le ouaibe ce qui s'en disait, un sacré bonhomme que vous venez de perdre, que NOUS venons de perdre, même, car au regard de l'humanité, des gens comme lui servent à tout le monde, puisqu'ils se battent pour chacun !
Bien dit Anne. Cette photo date de 2007. 90 ans et l'éclat du fauve toujours présent dans les yeux.
Définitivement un des grands québécois des 100 dernières années. On est bien loin du revenu minimum garanti et du travail vu comme un épanouissement mais le dévouement actif de sa vie pour le peuple et son mieux-être sont un héritage sacrément inspirant.
Mais encore Accent? Tu veux nous la résumer? En quoi sa carrière t'irrite? Parce qu'il a choisi une mission plutôt qu'une autre?
J'ai lu ton billet et ne commettrai pas l'erreur potentielle de commenter sous impulsivité mais je puis te dire de suite que la vie dans son essence est déséquilibrée pour tout être humain dûment constitué.
J'ajouterai cher Accent qu'il faudrait poser la question de l'absence du père à sa progéniture pour véritablement savoir comment cela les a affectés.
À défaut d'une réponse de leur part j'estime prétentieux quiconque pourrait en présumer. Cela n'enlève pas le droit de tout un chacun de trouver un grand personnage "irritable" dans ses manières.
7 commentaires:
Dommage que sa voix ne fut pas plus entendu notamment sur le revenu du citoyen....
Il ne prêchait pas l'inactivité mais disait que le travail était nécessaire moins pour l'enrichissement de l'individu que pour son épanouissement personnel et pour ce que cela rapporterait à la société.
Si chaque citoyen avait un revenu garanti il ne verrait pas le travail de la même façon.
Faudra bien que je développe cette idée à un moment donné en utilisant ma propre expérience de pré-retraité après 30 ans pour la même compagnie.
Un homme debout.
Oui, c'est exactement ce que j'ai ressenti en l'écoutant chez Gomeux, et puis en lisant le billet de Gaétan Bouchard.
Oui, un revenu garanti pour chacun, et le travail non plus comme "mise en laisse" des uns par les autres, mais comme expression de l'habileté, du désir de "faire"...Gaétan a raison là-dessus ! Michel Chartrand, je n'en ai eu connaissance que par vos blogs le jour de son décès, alors je suis allée lire sur le ouaibe ce qui s'en disait, un sacré bonhomme que vous venez de perdre, que NOUS venons de perdre, même, car au regard de l'humanité, des gens comme lui servent à tout le monde, puisqu'ils se battent pour chacun !
Bien dit Anne.
Cette photo date de 2007.
90 ans et l'éclat du fauve
toujours présent dans les yeux.
Définitivement un des
grands québécois des 100
dernières années.
On est bien loin du revenu
minimum garanti et du travail
vu comme un épanouissement mais
le dévouement actif de sa vie
pour le peuple et son mieux-être
sont un héritage sacrément inspirant.
La voix des uns ne peut remplacer celle des autres, la vôtre, la nôtre.
Trop de gens souhaitent que leurs combats soient délégués aux autres.
Moi, il m'irritait Chartrand. Le vieux sage était fort sympathique mais ça ne résume pas sa carrière.
Accent Grave
Mais encore Accent?
Tu veux nous la résumer?
En quoi sa carrière t'irrite?
Parce qu'il a choisi une mission
plutôt qu'une autre?
J'ai lu ton billet
et ne commettrai pas l'erreur potentielle de commenter sous impulsivité mais je puis te dire
de suite que la vie dans son essence est déséquilibrée
pour tout être humain dûment
constitué.
J'ajouterai cher Accent qu'il faudrait poser la question de
l'absence du père à sa progéniture pour véritablement savoir
comment cela les a affectés.
À défaut d'une réponse de leur
part j'estime prétentieux
quiconque pourrait en présumer.
Cela n'enlève pas le droit
de tout un chacun de trouver
un grand personnage "irritable"
dans ses manières.
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