mardi 1 avril 2008

Sur l'emploi ou la "job", en québécois.

Ceux et celles qui peuvent se permettre de dire:

"Mon emploi n'en est pas un, c'est une distraction obsessionnelle" sont choyé(e)s, même si ça ne leur offre que la survivance matérielle, car la véritable liberté n'a pas de prix et demande des sacrifices.

Par mon observation personnelle, cette affirmation est étrangère à la plupart des gens.

3 commentaires:

Véro a dit...

Je suis de celle qui peut vivre de sa passion...

mais non sans effort alors je ne suis pas une chanceuse, mais une courage qui croyait en son potentiel!

Yvan a dit...

Alors tu es une courage...
Courage courage, je peux savoir c'est quoi ta passion? (À part ton futur mariage ;)

Te considèrerais-tu comme étant une femme parfaitement heureuse?
Je veux dire par là, 100% heureuse, totalement et inconditionnellement heureuse, avec une prédisposition marquée pour le bonheur?

C'est ben pour dire, fallait que j'écrive un truc du genre pour avoir un premier commentaire démontrant le contraire.Faudrait peut-être que j'écrive un billet inverse pour avoir des réponses genre:
"Ah ouais, moi j'me fais chier à journée longue cinq jours semaine"
:)

Véro a dit...

Une courageuse...

oui je suis 100% heureuse, je crois que le bonheur est à l'intérieur de moi.

j'aime écrire et je gagne ma vie avec mes mots...

Et j'ai une nouvelle passion...