mardi 24 avril 2012

Pif Paf Pratte .



Petite frappe et les élucubrations tiennes que tu n'arrêtes pas de nous servir. Merci Yvon.

Tête de noeud porte-à-voix, BeBop Oloulaa de la Grosse Presse du Samedi des marais...
J'ai une sainte horreur des moralisateurs en tous genres, toi en premier.







Que ton temps soit compté, comme il l'est pour nous tous.

Il est bien terminé le temps des gants blancs.
Je les laissent tomber avec ton genre
et tous ceux et celles qui te ressemblent en même temps.


Be my guest.





13 commentaires:

jp a dit...

ouais, la morale, ça fait chier parce que c'est beaucoup de boulot en entretien. énormément de boulot pour entretenir la forme (ule), et qu'en plus, ça coute un fric monstre aux banques de spermicides extra-utérogènes.

c'est comme quand je me disais que bosser dans le social était "malhonnête", quelque part... bordel! arriver à se torturer la tête avec juste ce genre de petite canicule interne... quelle caguette de jésouscristous j'étais, hein?

mais en même temps, c'était un peu "précurseur" niveau new-velles teks d'appoint, car j'avais déjà eu l'intuition intime du chauffage central interne, en quelque sorte. voir même de la centrale électrique portative autorégénérescente de demain. le petit bidule technique qui n'était pas encore au point restant le canalisateur d'énergie. un peu comme les combinaisons en caoutchouc noires des fremmen de dune, niveau récupération et recyclage des eaux usagées, mais qui aurait concerné les flux électriques et mentaux.

jp a dit...

bukowski avouait péniblement être un puritain chez pivot (marrant de lire ce qu'il rapporte de cette expérience "douloureuse", selon lui, dans sa version "paranoïaque" intime, en total décalage avec la "farce" ressentie par la plupart), mais ce n'était pas aussi simple que celà. et comme dirait chevènement : "de toute façon, on n'a jamais le temps de s'exprimer vraiment à la télé", bref.

l'immoralité reste inévitable, car le monde est ainsi fait. cependant il reste une tendance, peut-être celle du "milieu", en soi. c'est peut-être ça la lutte. parfois, je me dis que mon "milieu" se serait "inversé" en une sorte de gouffre négatif inspirant le rejet systématique d'à peu près tout ce viendrait s'y coller à la ronde...

c'est peut-être ce que le momo aurait appelé "antimatière", mébon. dépression nerveuse, ça peut coller aussi.

ce qui me fait raler, c'est juste que d'avoir exprimer cette sorte de désespoir lié au fait que l'on ne peut jamais "vraiment" communiquer, se soit changé en un enchainement d'interprétations toutes plus cornues les unes que les autres.

(te rappelles du billet ou je "causais" de mes problèmes de voiture??

La Rouge avait capté un truc une fois. "en écrivant, t'essaie de faire passer la "vie", avait-elle compris.

je ne crois pas au sacrifice, comme les chrétiens. car je ne crois pas au "bien". et je ne crois pas non plus au "mal", comme les antichrétiens, qui croient eux aussi au "sacrifice", du moins pour certains. tout est question d'équilibre. et de déséquilibre. de gestion des deux poles. la vie est l'énergie découlant de ce désir ou besoin ou volonté de gestion. la mort est la dissolution de tout celà. le désir de mort devrait être quelque chose d'apaisé. libéré de celui de destruction.

en fait, je n'en sais foutrement rien.

je "crois" qu'il vaudrait mieux mourir heureux que malheureux. et que la rancune des ancêtres devrait foutre la paix aux nouvelles générations.

jp a dit...

le temps des gants blancs est terminé ?

ça me rappelle celui qui n'arrêtait pas de me dire "non, le monde est moche", alors qu'il souffrait et avait peur, et que je lui disais "le monde est aussi joli parfois". il croyait que je ne souffrais pas, peut-être.

t'as raison, les gants n'ont qu'à aller se rhabiller, et même, retourner leur veste, avant de mourir, comme tout un chacun... seul, et en silence.

http://www.vodkaster.com/Films/Little-Big-Man/19423

+ "i'm feeling allright, touloudit, touloudi-touloudi-touloudit" (vieux son-enregistré quelque part dans une mémoire, viscérale autant qu'aérienne, tangant tel un vieux blues-rock gospélien remuant son cul à la rolling stones + peace

jp le chauve a dit...

http://www.youtube.com/watch?v=5zHaUUIfgYo

c'est ce que je retiens en moi.
je me retrouve en l'énergie.

ça insite à la libération.
merci, toi...

me branle de...
l'objectif

jp a dit...

l'un des meilleurs truc que j'ai jamais entendu de ma vie :

http://www.youtube.com/watch?v=QtANagfZN6s&feature=related

jp a dit...

http://www.youtube.com/watch?v=zxj5fvHpCpc

jp un peu géné a dit...

http://www.youtube.com/watch?v=nUE80DTNxK4

allé, bye

RAINETTE (l'énigmatique) a dit...

il en a des choses à dire ce JP !

Yvan a dit...

Oui.

J'trouve ça vraiment l'fun
c'que tu écris ici depuis
kek jours Jip.
Ça m'apaise dans le tumulte.
Chu prompt à te varloper parfois
mais j'te remercie maintenant.
Bye.

Anonyme a dit...

ouais, l'action n'est pas une solution...

bref

zêtes hostiles, là ?

c'est quoi le blème ?
l'esthétique ?

Yvan a dit...

L'action c'est tout.
Ça regroupe plusieurs façons.
Qu'elle soit écrite,
dessinée,parlée,peinte,jouée,
filmée,sculptée ou simplement marchée dans les rues d'abord.
Le contenu est tout,l'esthétique
on s'en fout.


On est hostiles en hostie ouais,
à la même mesure du pouvoir
corrompu en place envers nous,
citoyens et citoyennes du Québec.

Anonyme a dit...

toute façon, l'esthétique, je m'en branle. j'aurais juste voulu un petit amour moche à demi lesbien, avec des toiles de peinture, des chats qui puent la litière qu'ils trainent derrière eux dans tout l'appartement, ouvrir les fenêtres le dimanche pour évacuer...

pi gueuler des conneries comme bono, dans un micro-jockey full of bourbon à la nouvelle orléans...

http://www.youtube.com/watch?v=MJzZeNLBr-Y

broder des bordels

c'est mon action

Anonyme a dit...

tsé ouate ? j'y crois pas une seconde aux vitupérations de bono, mais c'est beau comme une fille, tu vois ?

et donc, ça doit être "déjà ça" :

http://www.youtube.com/watch?v=uY7UWLti3CQ&feature=related

les étudiants islandais sont sauvés ?

(bise à gudrun, aussi parfaite que l'asphalte blanche qui englue mes pieds déjà gobés par le sol des sables émouvants)