lundi 15 avril 2013

Même merde, année différente. Same shit, different year.

Faut bien faire bilingue en ce pays
du Canada nouvelle-vieille version
2013.
Nouveau visage politique,vieille recette.
Nouvel emballage, vieux contenant.
L'homme qui voulait être Roi.
Bilingue qu'il disait, ben il l'est.
On peut pas dire le contraire.
"Je veux que le Québec me fasse confiance", qu'il disait.

Sauf que ton cerveau n'a pas l'air de pouvoir
se séparer en deux d'heureuse façon tu vois, Justin...
Tu n'es pas comme un ragoût de boeuf aux légumes
que l'on peut aussi aisément séparer en portions heureuses
en deux, trois ou quatre assiettes. Ding Dong.
La multiplicité, la profondeur de philosophie
ni la mémoire de l'histoire ne sont pas
des caractéristiques propres aux Trudeau.
Loin s'en faut.

"Engagez-vous, rengagez-vous."
 Qu'il a dit.

On a déjà donné, tu vois.
Pas difficile d'être mieux que Harper remarque.
Tu tombes bien.

Vaut mieux toi vide que Harper plein.
On se console avec ce que l'on a.
Faute de pain on prend de la galette.

Et ceux de cette race tribale me disant
que la politique me chauffe au point
de péter un câble ben;  je les invite
cordialement à s'exprimer ici en
toute liberté.




 



Bonne nuit, faites de beaux rêves.

2 commentaires:

anne des ocreries a dit...

"Faites de beaux rêves " ! tu en as de bonnes là, tu as vu ce que tu nous sers comme horrible face en guise de conclusion ? Comment bien dormir avec cette mocheté en mémoire ? :)))))))))

Yvan a dit...

:-))
Rions un peu avant qu'il ne
devienne premier ministre.
Je me réjouirai de la dégelée
de Harper et me désolerai
en même temps de voir une coquille
vide,baveuse et photocopiée accéder au pouvoir fédéral.
(Minoritaire ou majoritaire,
ma prévision.)
La tristesse et la joie
se succéderont à tour de rôle.

Oh,méchancetés.
La surchauffe et la démesure
me guettent; attention.
Donnons-lui une chance
de la grosseur d'un poux;
soyons bons princes.
Habile comme il est
il se mettra probablement
un pied ou deux dans la bouche
avant les prochaines élections.
Preuve additionnelle
qu'un héritier à belle gueule
n'a pas besoin d'idées pour
devenir cheuf d'un parti
politique.