Les fantastiques années à venir!
samedi 31 juillet 2010
Ya toujours kékun en kek part pour prendre soin de votre pognon.
Deux amis participent à une fête organisée
par un milliardaire.
Le premier dit:
"Wow! T'as vu cet endroit?!
Ce mec peut s'acheter tout ce qu'il veut!"
L'autre répond:
"Oui, mais je possède quelque chose qu'il n'aura jamais."
-"Quoi donc?"
-"Assez."
Certaines personnes ont trop d'argent,
d'autres volent à la pointe d'un stylo bille,
d'un revolver ou de belles paroles.
Entre les deux il y a le peuple-tampon
qui se démène comme il peut,
pris entre deux races:
les Grands et les petits voleurs.
Fournissant d'une main le coussin financier
sur lequel les premiers s'évachent pour fumer
le cigare de leur excès, l'autre main dans sa poche
pour donner directement aux seconds.
Ceux-ci sont de pâles copies des premiers
qui leur ont donné l'exemple à grande échelle.
Ils sentent que quelque chose leur échappe
et essaient de combler avec un morceau
de matière propre à menacer autrui.
This is the world I live in.
Un monde mensonger et voleur
dans lequel j'essaie de me démerder.
J'ai cependant un peu plus d'empathie
pour les petits que les Grands voleurs
même s'ils sont cousins, parce que plus
aisément "récupérables" à mon avis.
Je parle ici de ceux qui utilisent
des armes ou un prolongement quelconque
de leur corps, ils ont plus besoin d'aide
qu'autre chose.
Ceux qui utilisent leur langue bien tournée
se rangeraient plutôt dans la catégorie des:
"moyens voleurs en voie de développement"
à bien y penser.
J'en veux pour preuve cette expression:
"C'était un moyen voleur, il m'a soutiré 100 dollars
de plus de ce que ça valait!"
Tout a un début, ya de l'espoir pour tous:
ça commence par 10, 100, 1000,
10000, 100000$.
Puis ça monte ça monte allez on arrête pas là,
foutre non je suis trop bien parti, j'ouvre une banque!
Le plus dur à faire c'est le premier million,
après ça roule ma poule, you're in business.
Les Grands pour leur part n'ont besoin
que d'employés soumis en-dessous d'eux
(la pyramide de la délégation)
tout en ayant la ferme conviction tordue
que ce qu'ils ont gagné est juste rétribution
de leurs "efforts" malgré l'aide reçue
de contacts haut placés conjuguée ou non
à leur langue bien pendue.
Les Grands ont souvent aussi toute une "famille"
derrière dans le présent et avant eux dans le temps.
Question d'éducation que j'escamote un peu
vu l'ampleur du sujet que j'essaie ici de résumer.
Une exclusion remarquable:
Les voleurs de banque n'exerçant aucune violence
pendant leur larcin et redonnant en grande partie
leur butin dérobé.
Le Grand Voleur volé par plus fin que lui.
Admirable voire poétique.
Ils doivent être rarissimes mais je tenais à garder
une toute petite porte de coffre-fort ouverte au cas
où un Robin des Villes pointerait le bout de son museau.
Hautement hypothétique j'en conviens,
mais le seul respect de la première condition
m'imprimerait un sourire en coin sur le visage
faute de preuves pour la redistribution.
De toute façon, l'important pour moi
est de me rappeler ceci:
"Derrière chaque grande fortune se cache un crime".
Honoré de Balzac.
par un milliardaire.
Le premier dit:
"Wow! T'as vu cet endroit?!
Ce mec peut s'acheter tout ce qu'il veut!"
L'autre répond:
"Oui, mais je possède quelque chose qu'il n'aura jamais."
-"Quoi donc?"
-"Assez."
Certaines personnes ont trop d'argent,
d'autres volent à la pointe d'un stylo bille,
d'un revolver ou de belles paroles.
Entre les deux il y a le peuple-tampon
qui se démène comme il peut,
pris entre deux races:
les Grands et les petits voleurs.
Fournissant d'une main le coussin financier
sur lequel les premiers s'évachent pour fumer
le cigare de leur excès, l'autre main dans sa poche
pour donner directement aux seconds.
Ceux-ci sont de pâles copies des premiers
qui leur ont donné l'exemple à grande échelle.
Ils sentent que quelque chose leur échappe
et essaient de combler avec un morceau
de matière propre à menacer autrui.
This is the world I live in.
Un monde mensonger et voleur
dans lequel j'essaie de me démerder.
J'ai cependant un peu plus d'empathie
pour les petits que les Grands voleurs
même s'ils sont cousins, parce que plus
aisément "récupérables" à mon avis.
Je parle ici de ceux qui utilisent
des armes ou un prolongement quelconque
de leur corps, ils ont plus besoin d'aide
qu'autre chose.
Ceux qui utilisent leur langue bien tournée
se rangeraient plutôt dans la catégorie des:
"moyens voleurs en voie de développement"
à bien y penser.
J'en veux pour preuve cette expression:
"C'était un moyen voleur, il m'a soutiré 100 dollars
de plus de ce que ça valait!"
Tout a un début, ya de l'espoir pour tous:
ça commence par 10, 100, 1000,
10000, 100000$.
Puis ça monte ça monte allez on arrête pas là,
foutre non je suis trop bien parti, j'ouvre une banque!
Le plus dur à faire c'est le premier million,
après ça roule ma poule, you're in business.
Les Grands pour leur part n'ont besoin
que d'employés soumis en-dessous d'eux
(la pyramide de la délégation)
tout en ayant la ferme conviction tordue
que ce qu'ils ont gagné est juste rétribution
de leurs "efforts" malgré l'aide reçue
de contacts haut placés conjuguée ou non
à leur langue bien pendue.
Les Grands ont souvent aussi toute une "famille"
derrière dans le présent et avant eux dans le temps.
Question d'éducation que j'escamote un peu
vu l'ampleur du sujet que j'essaie ici de résumer.
Une exclusion remarquable:
Les voleurs de banque n'exerçant aucune violence
pendant leur larcin et redonnant en grande partie
leur butin dérobé.
Le Grand Voleur volé par plus fin que lui.
Admirable voire poétique.
Ils doivent être rarissimes mais je tenais à garder
une toute petite porte de coffre-fort ouverte au cas
où un Robin des Villes pointerait le bout de son museau.
Hautement hypothétique j'en conviens,
mais le seul respect de la première condition
m'imprimerait un sourire en coin sur le visage
faute de preuves pour la redistribution.
De toute façon, l'important pour moi
est de me rappeler ceci:
"Derrière chaque grande fortune se cache un crime".
Honoré de Balzac.
mardi 27 juillet 2010
Ces rires sonores
Les rires d'un enfant près de nous
sont encore plus perçants
que les rayons de soleil traversant
les nuages pour atterrir sur nos visages.
Ils sont musique incarnée par la légèreté
de la voix humaine renouvelée,
poursuivant ainsi notre aventure
à travers les générations.
Ils la poussent en avant de leurs prédécesseurs,
one musical step further,no matter what.
Ils sont le prolongement d'un rêve entre deux êtres
qui s'aiment, malgré tout le bruit et la destruction
que notre monde actuel peut semer et entretenir.
.....
On veut souvent les mômes coûte que coûte
à tout prix, ou par accident de passion.
D'accord, mais à quel prix de l'héritage
légué et/ou accidentel?
J'observe autour de moi que le don de soi
et l'abnégation absolument nécessaires
à cet acte sans retour ne font pas
toujours partie du processus décisionnel,
une fois constaté le sacrifice
quotidien de l'éducation d'un enfant
et du chapeautage que cela implique.
Il est difficile de mesurer son ampleur
avant la naissance mais les traits
de caractères et maladies génétiques
peuvent ou ne peuvent pas se perpétuer,
autant que les ressemblances physiques.
On ne peut qu'imaginer cette ampleur,
c'est d'ailleurs ce que la plupart font.
Le vivre est une autre histoire
puisqu'on ignore en partie
jusqu'à l'accouchement si la progéniture
est "saine" ou "archi-saine" puisqu'il existe
une bonne part d'imprévu contre laquelle
peu sont préparés, malgré la belle grossesse.
L'important n'est-il pas de mettre au monde
un bébé en santé?
(...)
"Ah vous aimeriez quoi chers
parents en devenir?"
-Un bébé en santé!
-On vous le souhaite de tout coeur!
L'engeance; cette racine naissante
qui deviendra fleur, ronce ou entre les deux,
dépend d'une part des guides donnés
puis du libre-arbitre qu'ils se forgeront en vieillissant.
Mon expérience personnelle me dit que l'être humain
est fleur ET ronce; capable du meilleur et du pire
malgré l'éducation reçue: bourgeoise, prolétaire
ou entre les deux et plusieures autres.
Je peux me tromper hein.
Quoiqu'il en soit il en faut du courage,
de l'amour et des souhaits pour procréer
et éduquer. De la sensibilité et de l'écoute aussi.
Je suppose que le premier de ces attributs
se trouve plus facilement, lorsque les deux suivants
sont omniprésents.
C'est souhaitable dans tous les cas mais pas une condition,
à voir ce monde qui se perpétue, héhé.
Anyway, :-)
en cette belle journée d'été,
je fais un câlin à tous les parents aimants
et respectueux qui n'infantilisent pas,
tout en persistant.
Happy summertime.
sont encore plus perçants
que les rayons de soleil traversant
les nuages pour atterrir sur nos visages.
Ils sont musique incarnée par la légèreté
de la voix humaine renouvelée,
poursuivant ainsi notre aventure
à travers les générations.
Ils la poussent en avant de leurs prédécesseurs,
one musical step further,no matter what.
Ils sont le prolongement d'un rêve entre deux êtres
qui s'aiment, malgré tout le bruit et la destruction
que notre monde actuel peut semer et entretenir.
.....
On veut souvent les mômes coûte que coûte
à tout prix, ou par accident de passion.
D'accord, mais à quel prix de l'héritage
légué et/ou accidentel?
J'observe autour de moi que le don de soi
et l'abnégation absolument nécessaires
à cet acte sans retour ne font pas
toujours partie du processus décisionnel,
une fois constaté le sacrifice
quotidien de l'éducation d'un enfant
et du chapeautage que cela implique.
Il est difficile de mesurer son ampleur
avant la naissance mais les traits
de caractères et maladies génétiques
peuvent ou ne peuvent pas se perpétuer,
autant que les ressemblances physiques.
On ne peut qu'imaginer cette ampleur,
c'est d'ailleurs ce que la plupart font.
Le vivre est une autre histoire
puisqu'on ignore en partie
jusqu'à l'accouchement si la progéniture
est "saine" ou "archi-saine" puisqu'il existe
une bonne part d'imprévu contre laquelle
peu sont préparés, malgré la belle grossesse.
L'important n'est-il pas de mettre au monde
un bébé en santé?
(...)
"Ah vous aimeriez quoi chers
parents en devenir?"
-Un bébé en santé!
-On vous le souhaite de tout coeur!
L'engeance; cette racine naissante
qui deviendra fleur, ronce ou entre les deux,
dépend d'une part des guides donnés
puis du libre-arbitre qu'ils se forgeront en vieillissant.
Mon expérience personnelle me dit que l'être humain
est fleur ET ronce; capable du meilleur et du pire
malgré l'éducation reçue: bourgeoise, prolétaire
ou entre les deux et plusieures autres.
Je peux me tromper hein.
Quoiqu'il en soit il en faut du courage,
de l'amour et des souhaits pour procréer
et éduquer. De la sensibilité et de l'écoute aussi.
Je suppose que le premier de ces attributs
se trouve plus facilement, lorsque les deux suivants
sont omniprésents.
C'est souhaitable dans tous les cas mais pas une condition,
à voir ce monde qui se perpétue, héhé.
Anyway, :-)
en cette belle journée d'été,
je fais un câlin à tous les parents aimants
et respectueux qui n'infantilisent pas,
tout en persistant.
Happy summertime.
mardi 20 juillet 2010
Ces temps-ci...
Ce que j'aime ne me paie pas et est trop absent.
Ce que je n'aime pas me paie et est trop présent.
Ce que je n'aime pas me paie et est trop présent.
"Monsieur, vous avez exactement dix minutes pour nous parler de l'Amour".
Ou comment un court-métrage de 4 minutes 50 secondes
peut être aussi significatif qu'un long-métrage.
Gracieuseté d'un poète, par l'intermédiaire d'un ami.
Poète.
vendredi 16 juillet 2010
Amen petroleum, homo sapiens connardus
L'image et le texte "scannés" ci-haut
ne sont pas neufs,ils datent du mois d'avril dernier
mais sont quant à moi
toujours d'actualité à la lecture de la dernière nouvelle
émanant de la désormais célèbre compagnie FSBP:
Foireuse Suprême Britiche Pétroléume.
BP : Bien Poisseuse et Bien Pourrie.
"La fuite est arrêtée!"
Wow, déjà?!
Quelle soi-disante bonne nouvelle.
Remarquez, elles peuvent changer de nationalité
et de nom au gré du vent et des frontières;
les pétrolières se branlent bien
de toute géographie par leurs tentacules mondiales
en accord avec les politiques en place.
Place à l'énergie.Place à l'or noir.
Dégagez les bouseux, on fait ce qu'on veut.
Leurs forages non-protégés d'un puits de secours
en grande profondeur sont mille fois pire
quand ça foire, un million de fois
quand tout ce qu'on essaie de me faire avaler
par la pub mensongère, privée ou étatisée est
qu'ils font tout pour que ça cesse.Come on.
Tsé Chose, prends ton osti d'trou,farme ta yeule
pis ramasse ta marde minimum, pollueur-payeur.
Ouais. Votre chèque est à la poste.
Sales opportunistes qui vous achetez une sortie
privée tout en exerçant le pouvoir public avec nos deniers.
Ils font la guerre à la terre tous les jours sans scrupules.
Exclusivement à la recherche de leur profit, coûte que coûte,
peu importe le prix.
Autant de bites internationales défonçant le trouffion d'un pays,
d'une province ou d'une municipalité par gouvernements
consentants interposés,corrompus et rompus aux profits
ou à la gloire personnelle ayant un penchant pour...
"Bend over Baby... I'll drive"...
Don't worry you know, just keep on workin' as usual.
Nothin' happens or nor it seems
Produce income tax and taxes.
You are tax payer, let's keep it this way.
If you protest, do it quietly 'cause we might
hit you on the head with our sticks
or take you to an improvised jail.
Go out in stores, buy everything you want.
Work, live quietly and procreate other tax payers.
We know how to take care of business,
that's why you vote every 4 years,
it's written in the book, here.
The book shows the way.
Follow the book.
Sauf qu'il faudrait pouvoir s'habiller
comme on veut, devant n'importe qui
et n'importe quoi en 2010.
Pourquoi le costard-cravate bénéficie-t'il
encore d'un préjugé favorable quand je sais
qu'une proportion certaine de bandits
le portent?!
Le complet-cravate est-il encore pertinent
et/ou crédible en 2010?
C'est la question. That is the question.
À regarder ces trois têtes de noeud
la question se pose.
Doutes.
Marionnettes à la solde?
Pantins désarticulés?
Sinistres porte-voix manipulés?
Ho,hey...
Ohé.
jeudi 15 juillet 2010
Amen Petroleum (2)
Avale allez, avale la balle qui t'es renvoyée,
consommateur effréné qui court.
Tant qu'on touche pas à ton portefeuille
t'es prêt à t'agenouiller silencieusement
devant les puissants.
T'es pas fait pour la liberté
mais pour la soumission, Ducon.
Allez, soumets-toi docilement.
Une illusion réconfortante
est toujours mieux qu'une vérité
dérangeante n'est-ce pas?
Abdique, pendant que les paiements
de ton hypothèque, de ta grosse télé,
de ta piscine hors-terre et du dernier BBQ
à la mode passent dans ton compte en banque.
Les années où tu seras le plus productif
seront consacrées à cette tâche
que tu t'es donnée par choix.
Endetté à vie dans ta fuite vers l'avant.
Nourris-toi de tes propres chimères et illusions,
reclu dans ton coin de gérant d'estrade
personnalisé et silencieux.
Héritier d'une génération
qui a tout baisé et dicté.
Votant pour elle-même des retraites dorées
sur le dos des générations futures
qui devront tôt ou tard en payer la facture.
Le règne de l'huître nombriliste
et vieillissante bat son plein.
On a pas fini de payer pour les boomers
dirigeants et vieillissants.
La démocratie des "vieux" a déjà commencé
et ils veulent pas crever en plus;
se croyant toujours jeunes et branchés pour la plupart,
niant le fait qu'ils soient vieux, dépassés et en retard.
Je le serai moi-même tôt ou tard;
en attendant on les aura à la traîne
pour au moins 10 ans encore.
La mathématique des nombres donnant raison
au plus petit dénominateur commun.
Fuck, pourtant yen a pour qui j'ai de l'amitié sincère
mais ils sont peu nombreux malheureusement.
Faudra un gouvernement qui les fera payer
pour leurs services de gérontologie.
À la carte et à leurs frais.
Ce n'est pas aux jeunes travailleurs de moins en moins
nombreux de défrayer les coûts de leur vieillissement
mais à eux-mêmes.
Eux sont plus que nombreux, ils ont bien profité
du système qu'ils ont façonné à leur image
les baby boomers;
qu'ils s'arrangent entre eux ou paient la juste valeur
de leur jeunesse devenue vieillesse et
par laquelle ils ont profité de tout sans vergogne.
Le juste retour du balancier commande aussi au nombre.
Vu ce qu'ils nous lèguent de merdes en tous genres
par leur faute, ils doivent payer individuellement.
Je paierai ma part pour ma mère et mon père.
Pas plus.
Les autres devront fouiller dans leurs poches
et leurs ressources personnelles à mon humble avis
mais ce n'est présentement pas le cas étant donné
les paiements faramineux déjà effectués pour
les maintenir en vie.
Je veux bien croire à la transmission du savoir
et de l'expérience à travers les générations
mais ya des limites qu'ils sont en train de franchir,
vu leur nombre majoritaire.
Tout parti politique sous-entendant le contraire
n'aura pas mon vote et je m'emploierai à les discréditer
quand bien même mon épée de mots ne ferait
que fendre l'eau malgré la tendance.
consommateur effréné qui court.
Tant qu'on touche pas à ton portefeuille
t'es prêt à t'agenouiller silencieusement
devant les puissants.
T'es pas fait pour la liberté
mais pour la soumission, Ducon.
Allez, soumets-toi docilement.
Une illusion réconfortante
est toujours mieux qu'une vérité
dérangeante n'est-ce pas?
Abdique, pendant que les paiements
de ton hypothèque, de ta grosse télé,
de ta piscine hors-terre et du dernier BBQ
à la mode passent dans ton compte en banque.
Les années où tu seras le plus productif
seront consacrées à cette tâche
que tu t'es donnée par choix.
Endetté à vie dans ta fuite vers l'avant.
Nourris-toi de tes propres chimères et illusions,
reclu dans ton coin de gérant d'estrade
personnalisé et silencieux.
Héritier d'une génération
qui a tout baisé et dicté.
Votant pour elle-même des retraites dorées
sur le dos des générations futures
qui devront tôt ou tard en payer la facture.
Le règne de l'huître nombriliste
et vieillissante bat son plein.
On a pas fini de payer pour les boomers
dirigeants et vieillissants.
La démocratie des "vieux" a déjà commencé
et ils veulent pas crever en plus;
se croyant toujours jeunes et branchés pour la plupart,
niant le fait qu'ils soient vieux, dépassés et en retard.
Je le serai moi-même tôt ou tard;
en attendant on les aura à la traîne
pour au moins 10 ans encore.
La mathématique des nombres donnant raison
au plus petit dénominateur commun.
Fuck, pourtant yen a pour qui j'ai de l'amitié sincère
mais ils sont peu nombreux malheureusement.
Faudra un gouvernement qui les fera payer
pour leurs services de gérontologie.
À la carte et à leurs frais.
Ce n'est pas aux jeunes travailleurs de moins en moins
nombreux de défrayer les coûts de leur vieillissement
mais à eux-mêmes.
Eux sont plus que nombreux, ils ont bien profité
du système qu'ils ont façonné à leur image
les baby boomers;
qu'ils s'arrangent entre eux ou paient la juste valeur
de leur jeunesse devenue vieillesse et
par laquelle ils ont profité de tout sans vergogne.
Le juste retour du balancier commande aussi au nombre.
Vu ce qu'ils nous lèguent de merdes en tous genres
par leur faute, ils doivent payer individuellement.
Je paierai ma part pour ma mère et mon père.
Pas plus.
Les autres devront fouiller dans leurs poches
et leurs ressources personnelles à mon humble avis
mais ce n'est présentement pas le cas étant donné
les paiements faramineux déjà effectués pour
les maintenir en vie.
Je veux bien croire à la transmission du savoir
et de l'expérience à travers les générations
mais ya des limites qu'ils sont en train de franchir,
vu leur nombre majoritaire.
Tout parti politique sous-entendant le contraire
n'aura pas mon vote et je m'emploierai à les discréditer
quand bien même mon épée de mots ne ferait
que fendre l'eau malgré la tendance.
samedi 10 juillet 2010
La constance du jardinier.
C'est le titre d'un roman de John Le Carré:
"The Constant Gardener", que je n'ai pas lu.
(Je n'ai lu que "La Taupe" de cet auteur
qui m'avait bien botté à l'époque par sa plume
tranquille mais omnisciente au contraire
d'un Ludlum plus tapageur et sensationnaliste.)
Le film est signé Fernando Merelles,
réalisateur et producteur brésilien
à qui l'on doit "Blindness" récemment
et "Cidade de Deus" plus anciennement.
Ce film: "Cidade de Deus" est un must see
pour les cinéphiles à mon avis.
Un film qui torche dans les favelas
à propos des favelas et leurs dirigeants éphémères.
C'est d'une crudité,d'une lucidité et d'un réalisme
très prenants sur grand écran.
Faut expérimenter ce film,même sur sa télé.
Sa réputation a en quelque sorte guidé
ma sélection si je puis dire.
Adapter Le Carré au cinoche n'est pas chose facile.
Plutôt casse-gueule comme entreprise mais au final
il s'en sort plutôt bien malgré quelques faiblesses
tout en donnant le goût de lire le livre.
Le premier tiers du film est un peu laborieux
et tourne les coins rondement avec son
histoire d'amour à laquelle on s'attache
pas vraiment, mais la suite se reprend
de belle façon et nous garde dans le giron
de l'histoire aux résonances universelles
pharmaceutiques et personnelles.
Sens de la mise en scène,
manipulation de la caméra,
traitement de l'image et musique aidants.
La fin est très belle, poétique.
Originale, inéluctable
et significative.
Film prévisible dans son imprévisibilité
ou l'inverse, avec des acteurs
en forme d'acteurs en forme.
Belle direction d'acteurs justement.
Ralph Fiennes et Rachel Weisz,
beau petit couple.
Cette Rachel...
Elle a définitivement un je-ne-sais-quoi
d'absolument irradiant à chacune
de ses apparitions, comme Kate Blanchett.
Pas exactement des boudins, on s'entend.
J'appellerais cela une pureté,
une authenticité irrésistible;
un charme indéniable, quoi.
"The Constant Gardener", que je n'ai pas lu.
(Je n'ai lu que "La Taupe" de cet auteur
qui m'avait bien botté à l'époque par sa plume
tranquille mais omnisciente au contraire
d'un Ludlum plus tapageur et sensationnaliste.)
Le film est signé Fernando Merelles,
réalisateur et producteur brésilien
à qui l'on doit "Blindness" récemment
et "Cidade de Deus" plus anciennement.
Ce film: "Cidade de Deus" est un must see
pour les cinéphiles à mon avis.
Un film qui torche dans les favelas
à propos des favelas et leurs dirigeants éphémères.
C'est d'une crudité,d'une lucidité et d'un réalisme
très prenants sur grand écran.
Faut expérimenter ce film,même sur sa télé.
Sa réputation a en quelque sorte guidé
ma sélection si je puis dire.
Adapter Le Carré au cinoche n'est pas chose facile.
Plutôt casse-gueule comme entreprise mais au final
il s'en sort plutôt bien malgré quelques faiblesses
tout en donnant le goût de lire le livre.
Le premier tiers du film est un peu laborieux
et tourne les coins rondement avec son
histoire d'amour à laquelle on s'attache
pas vraiment, mais la suite se reprend
de belle façon et nous garde dans le giron
de l'histoire aux résonances universelles
pharmaceutiques et personnelles.
Sens de la mise en scène,
manipulation de la caméra,
traitement de l'image et musique aidants.
La fin est très belle, poétique.
Originale, inéluctable
et significative.
Film prévisible dans son imprévisibilité
ou l'inverse, avec des acteurs
en forme d'acteurs en forme.
Belle direction d'acteurs justement.
Ralph Fiennes et Rachel Weisz,
beau petit couple.
Cette Rachel...
Elle a définitivement un je-ne-sais-quoi
d'absolument irradiant à chacune
de ses apparitions, comme Kate Blanchett.
Pas exactement des boudins, on s'entend.
J'appellerais cela une pureté,
une authenticité irrésistible;
un charme indéniable, quoi.
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