mardi 14 juillet 2009

Ohé!

Photo gracieuseté de: Trader inc. 2009.



Il existe des restaurants où on peut apporter son vin.
Il existe des "Beach Partys" où on peut emmener son sable.

Au Cinéma L'Amour, on peut apporter ses kleenex.

Cette semaine à l'affiche:

"Debbie does Kujuuak"

Une jeune américaine en fleur rate son vol
de correspondance vers le sud lors d'une
expédition aérienne nordique.
Elle aime le sexe et se retrouve seule dans
l'aérogare où réside plusieures têtes-de-noeud
prêtes à tout prendre.
Il n'en faudra pas plus pour qu'elle fasse leur
connaissance en une journée qui s'annonçait
morne en tous points, mais qui se révélera
sexy au max!


En complément:

"Cock Tales"

Un jeune homme constamment bandé
fait la rencontre de semblables dans un bar privé.
S'ensuit une suite de scénettes sans queue ni tête
sexy comme c'est par permis.
Du cul du cul encore du cul, dans ce scénario
prétexte à l'enchevêtrement des corps qui se
relaient dans un marathon de sexe sans fin.


"Cinéma L'Amour".


Là où on examine tous les pourtours.

3 commentaires:

Trader a dit...

Y ai mis les pieds une seule fois.

J'oublierai jamais l'odeur spéciale de la place. Quelque chose comme du renfermé tenace additionné d'une flagrance de champignon verdâtre poussant sous des lunettes de toilette. Comme une chambre d'ado nerdy à tout crin et désespérant.

J'étais pas resté longtemps: le film n'était même pas de bonne facture. Du sexe à la chaîne sans âme, genre... Hi-han! Hi-han! Hi-han! Et qu'on r'mette un trente sous dans slotte! S'cusez l'terme...

En rebroussant chemin, mes runnings faisaient un drôle de bruit. Comme de la cire qui venait à peine de sécher. Gériboire, j'y croyais pas! Des générations superposées de cire mal séché. Pas possible!

Shit!

Yvan a dit...

Shouik shouik en bouche.
Un peu comme le fromage en grains
comparé à un émenthal,un gruyère
fumé ou un camembert authentique.

Jamais allé dans un cinéma
prono en salle, même si j'ai consommé le genre,
sauf que le cinéma di
l'amorro cé pas pareil.

C'est une institution hein,
faut pas déconner.

Yvan a dit...

À part l'étude anthropologique,
faudrait qu'on m'explique
le trip du cinéma porno
en salle.

Si l'on excepte le paumé
le vieux et le coké.

Tiens ç'est un bon titre
à la Leone ça:

"Le paumé,le vieux,et
le coké".
Le bon,la brute et le truand.

Mais me semble que ce genre
est plus confortable en DVD.
Dans ton salon,dans la
couchette ou en Winnebago.

Branlette ou Baisouillette,
et puis dodo tout le monde
au pieu.