vendredi 18 juillet 2014

Réel/Virtuel


La vie me déborde ces temps-ci.
J'ai la famille qui se bouscule, entre autres.

Je reçois plus de demandes que ce que j'ai à offrir,
à tous les niveaux.
On a parfois beau se mettre en mode multi-tâches
qu'on arrive tout simplement pas à tout faire.
Une chose à la fois, établir des priorités et lâcher prise
quand la soupape ne suffit plus à plein régime
parce qu'il existe de ces périodes où tout notre temps
suffit à peine au réel.





8 commentaires:

manouche a dit...

...C'est ce qu'on appelle le bon temps. Réjouis-toi, Yvan !

Simon Dor a dit...

Tellement la même émotion. L'idée (pas toujours facile) est de se déculpabiliser de ne pas faire un certain nombre de choses. Si ça peut t'aider, je te lirai encore ici même si tu t'y absentais pour plusieurs mois.

Yvan a dit...

:-)

J'avance en âge et le tout
semble parfois beaucoup
à avaler.

Le pire étant une période
que l'on a peu préparée
et ses parents en fin de vie,
envers lesquels on essaiera
de redonner un tant soit peu.

Je n'oublie pas que ma mère
m'a porté en son sein et que
mon père m'a guidé ensuite
à l'extérieur de ce monde
solitaire; à la fois interne
et externe d'une cellule dite familiale.

Simon Dor a dit...

Prends bien soin d'eux et de toi.

Yvan a dit...

Same to you, Simon Gold.
:-)

Monde Indien a dit...


Ben oui , c ' est la vie !

Est-ce le privilège des années ?
Non , plutôt de la chance qui
m ' amène , après beaucoup d ' années , sur les rives
d ' une tranquillité certaine qui dans le fond
a toujours été là en moi ,
méconnue mais bien là et
qui a fini par prendre la place sûre
qu ' elle a aujourd ' hui .

Merci pour ton salut amical chez " simplement " .

On dit bien qu ' on n ' a pas assez d ' une vie pour faire
tout ce qu ' aimerait faire - et c ' est peut-être ce qui la rend
si belle : pas tant ce goût de regret ( encore que l ' on peut voir qu ' il
s ' agisse là de l ' épice qui pique un peu la langue ) que la
quantité de merveilles qui nous attirent encore après toutes
ces années , nous rendant fous comme des
chevaux sauvages -

Il y a aussi toutes ces choses négatives
qui tentent de nous bouffer , notre temps ou nous m^me - , et là
aussi les années et la chance de notre parcours , de nos rencontres ,
nous ont appris à mieux nous prémunir de ces dangers réels -
Nous ne pouvons nous charger de tous les malheurs du monde m^me
si nous essayons de faire de notre mieux
pour que les choses aillent mieux pour notre belle
planète et nos soeurs et frères qui y vivent - et nous-m^mes -

Et m^me concernant ceux et celles que nous aimons
et qui nous aiment , nous ne sommes pas tout-puissants pour leur bien-être
, leur bonheur , le nôtre -
Que nous fassions ce que nous pouvons de bonheur , et le vie va déjà
mieux , ses couleurs deviennent plus douces et aussi plus flamboyantes -

Il y a enfin ces choses , ces évènements , et m^me ces êtres , qui resteront
irrémédiablement mauvais - Nous n ' y pouvons pas grand-chose - cela fait parties des forces ,
presque telluriques , de l ' univers - Au moins essayer de nous en protéger -

Ici , dans le sud de la France , l ' été est chaud , c ' est un bonheur , et la mer Méditerranée
est bienfaîtrice -

Bonne journée , bonheur , à toi et ceux que tu aimes -

Monde Indien/Charles , de Sète - France -

mondeindien@jimdo.com
( mon mini-site à l ' abandon , m^me l ' adresse de messagerie que j ' y laisse
n ' est plus valable - j ' ai eu des bugs - sans danger pour les visiteurs - sauf peut-être
cette ex-messagerie ... ) - il faut que j ' essaye de réparer tout ça , si la beauté du monde m ' en laisse le temps -

Yvan a dit...

La beauté du monde
nous en laissant le temps.

:-)

Yvan a dit...

Boulot nouère, Alexis K!

Je connais des cas
pas piqués des vers.
Prends ce demeuré l'autre jour,
qui arrosait d'eau potable
son entrée d'asphalte.